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Misc. Notes | ||||||||
Sources : extraits de, pages 158-159 En 1922, au décès de leur père Marius, Arthur et Armand reprennent l’entreprise où une bonne cinquantaine d’ouvriers y travaillent. Les deux frères créent alors la société LECOULTRE Frères et décident une année plus tard, en 1923, d’ouvrir une succursale à Rolle afin d’y exploiter de nouvelles machines de leur propre conception qu’ils tiennent à cacher à leurs concurrents. En 1929, Gaston LECOULTRE rejoint ses frères. Le krack de Wall Street touche particulièrement l’industrie horlogère suisse. Dès 1929, l’usine de Rolle doit être fermée. En 1931, c’est la Maison mère de Lucens qui ferme à son tour. Diverses tentatives pour y maintenir une activité industrielle échouent ( DORU S.A. - 1931- Fabrication de bonneterie, de tricots, de bas ; Etampes S.A.). Armand LECOULTRE, en s’associant avec l’entrepreneur FERRINI, devient lui même entrepreneur : avec le gros de ses ouvriers et ceux des autre pierristes de Lucens, ils construisent , entre autres, une partie de la route reliant Lucens à Oulens, que l’on appelle encore aujoud’hui la route des horlogers. En 1936, Armand LECOULTRE a repris la fabrication des pierres en association avec Henri THOMAE (fils d’Emile) sous la raison sociale LECOULTRE & THOMAE, joaillerie d’horlogerie à Lucens. Leur collaboration dure sept ans au bout desquels Henri THOMAE créera sa propre entreprise à Lausanne. En 1944, Armand LECOULTRE fait entrer son fils Jean-Pierre dans l’entreprise. En 1953, Armand LECOULTRE s’associe avec son fils Jean-Pierre. L’entreprise compte à cette époque une trentaine de personnes.397 | ||||||||
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Last Modified 13 Nov 2014 | Created 10 Dec 2022 using Reunion for Macintosh |